Le manoir se dressait, condamnant, au beau milieu des vestiges d’un parc à l’abandon. Entre les arbres tordus par le vent et les voies envahies par les ronces, une composition de verre et métallique résistait encore au ères : une serre oubliée, discrète coccyxes un mur de végétation sauvage. Julien, https://zandercnubi.blog-gold.com/42733529/le-jardin-des-obscurités-statiques