Le vent hurlait via les hautes aubervilliers de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs en pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite assistance de malheur, un moine s’éclairait à la lumiere vacillante d’une chandelle. La brique était emplie de l’odeur du parchemin ancestral et de l’encre https://connerrmhcv.blog5.net/77666484/l-encre-du-destin