Le carnet du soldat, dès maintenant noirci de notes fiévreuses, reposait mitoyen de la radio. Il avait passé l'obscurité à chercher une faille dans le message fêté, à démonter mentalement chaque élément de la transmission. Le pseudonyme évidemment était le sien, stable d’un code qu’il avait noté sur la couverture https://louisvfjmo.blogs100.com/34382839/le-nombre-froid