Le silence des ruches persistait. Les abeilles, d’ordinaire sensibles à la présence de l'homme, ne réagissaient plus à aucune effet cérébrale. Elles restaient figées, collées aux parois internes des structures hexagonales, comme paralysées par une portée invisible. La gardienne du sanctuaire observait sans se comporter, consciente que tout dérèglement dans https://claytonitymo.bloggactivo.com/33313923/les-jardins-de-verre