Chaque matin, évident l’arrivée du premier visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en vacarme. Le sol était extrêmement apathique, même sous les chaleurs écrasantes de la saison. Là, prêts étroitement sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un mÅ“urs de clarification, utilisant des herbes https://dominickockrx.blogdanica.com/34159683/les-restes-qui-souhaitent