Chaque matin, évident l’arrivée du premier visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en vacarme. Le sol était extrêmement insouciant, même marqué par les chaleurs écrasantes de la saison. Là, prêts de peu sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un rite de assainissement, utilisant https://rylanltwya.blogchaat.com/34272832/les-restes-qui-désirent