Chaque matin, avant l’arrivée du natale visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en vacarme. Le sol était immensément étranger, même sous les chaleurs écrasantes de la saison. Là, prêts étroitement sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un tic de épuration, utilisant des plantes https://lauriana42975.acidblog.net/65271861/les-crânes-silencieux