Chaque soir, Liora ravivait le feu dans l’âtre rondelette au coeur de son fabrique. Elle y jetait les articles de cuivre en vacarme, laissant les desseins danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un tradition. C’était une respiration lente, une habitude née d’un geste traditionnel répété sans cesse. Les https://jeffreyioqrr.wikigdia.com/6988493/les_contours_effacés